Point n'est besoin de rolex ou de kärcher, de gadgets électroniques, de repas au Fouquet's ou d'amis milliardaires, pour goûter le bonheur simple des jours qui passent...

Point n'est besoin de pipoles et de medias, de newsmagazines et de traders, de "happy few" ou de "think tanks" pour vivre dignement ...

Voyez où nous ont conduit la raison raisonnante, la technologie débridée et la science arrogante, la volonté de puissance et de conquête, l'avidité financière et l'obsession de la croissance...

Et c'est d'autre chose dont nous avons aujourd'hui grand besoin : de compassion pour la Terre, les plantes et les animaux, de frugalité et de simplicité de vie, de convivialité, d'innocence et de pureté du regard, d'amour du Réel plutôt que du virtuel, de silence et de beauté... Et surtout, surtout : de ce souci inquiet et attentif de l'autre, qui est attribut du féminin...

Tout cela nous pouvons l'entretenir en nous en cultivant un "état de poésie", une autre vision de la vie, que nous enseignent certains poètes et artistes, ainsi qu'en témoigne le contenu de ce blog



dimanche 28 novembre 2010

Elle était là pour tout offrir : l'élégie de la femme chez Paul Chaulot

Paul Chaulot, poète français peu connu dont nous avons déja mis un extrait en ligne, nous a laissé ce merveilleux poème sur la femme, la femme rédemptrice, la femme surtout qui nous apprend une autre façon de voir la vie : "tout était comme si le monde apprenait un autre chemin dans chaque geste de la femme"...

Voici un texte intitulé "Son visage de servante", extrait du recueil "L'herbe de chaque escale" publié en 1956 chez Seghers. Ce texte est dit par Jean Négroni, dans un disque de la collection "Poésies et Chansons" des Editions Reflets :




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